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 the deepest blues are black (cameron & charles)

Charles Buchanan
« Charles Buchanan »
«Date d'arrivée» : 11/09/2021
«rêves brisés» : 59
«faceclam & crédits» : Chris Evans (avengedinchains)
«expériences réussies» : 376

No one here gets out sane and sound
MessageSujet: the deepest blues are black (cameron & charles)   the deepest blues are black (cameron & charles) EmptyMer 29 Sep - 23:55

TW : ACTIVITÉS CRIMINELLES + DROGUES + SEXE



Sweeter the bruisen the feeling starts coming back.
The deeper the blues, the more I see black.

@cameron wayne •
Ça faisait déjà une bonne demie heure que Charles essayait de faire entrer dans le minuscule cerveau de Mikey Shapiro l'importante information de ne pas continuer ses affaires criminelles au grand public en attendant son procès. Encore un des cas que Matthews avait accepté qui tournait au vinaigre, et c'était Charles qui devait ramasser le merdier qu'ils laissaient tous derrière - par chance que c'était lui et pas Parker, parce qu'elle, elle aurait flippé des tables. Mais Mikey, il était un peu con. Stupide. Le QI pas trop élevé. Un criminel de basse échelle. Alors il connaissait rien d'autre que cette vie. « J'vais te dire les choses commes elles sont, Mikey. Si tu fais pas un minimum d'efforts pour couvrir tes traces, on pourra rien faire pour t'aider. » qu'avait dit Charles avec fermeté, se pinçant le pont du nez avec impatience. Mikey avait fait un petit signe des doigts et ses deux gardes du corps avaient montré leurs fusils subtilement à Charles. « Vot' job, c'est d'me couvrir le cul, Buchanan. Arranges toi pour m'sortir de la merde. » qu'avait dit Mikey avec ce qu'il devait croire être un ton dangeureux. Charles, lui, il avait roulé des yeux et fini de caler le verre de whiskey qu'il avait commencé plus tôt - on l'avait poignardé par le passé, et il passait ses semaines à être menacé, alors ces deux gardes du corps version Walmart, ça ne lui faisait pas un pli sur son veston Prada. « J'peux pas te couvrir les fesses si le juge sait que tu continues à trafiquer en attente de ton procès. J'suis avocat, Mikey, pas faiseur de miracles. » Il s'était relevé, ne jettant même pas un coup d'oeil aux deux hommes armés. Une infirme partie de lui avait quand même peur, parce que comme ils étaient pas très intelligents ces petits criminels, peut-être qu'ils seraient assez stupides pour ouvrir le feu dans un nighclub plutôt bondé. Il le savait cependant, l'avocat, que c'était les risques des décisions qu'il avait prises dans son métier. It's a risk I'm gonna have to take, qu'il s'était dit. En descendant les deux petites marches pour sortir de la section VIP, il s'était retourné vers Mikey, replaçant les revers de son veston. « Get your shit together, Mikey. Sinon c'est quatre ans de prison minimum qui t'attends. » qu'il avait dit en guise d'avertissement avant de continuer son chemin vers le bar, laissant les petits criminels derrière lui.

Il avait traversé le nighclub d'un pas confiant - il savait que quelques femmes s'étaient retournés pour le suivre du regard, mais ce soir, il s'en foutait royalement. N'importe quel autre soir, il en aurait profité. Des petites princesses des boîtes de nuit à peine légales qui dépensent l'argent de papa en cocaine qu'il aurait mis à la porte à peine les ébats finis, il en avait eu une tonne par le passé, et ça avait fait son temps. Après une couple de fois, faire une ligne de coke sur le cul d'une petite blonde qui veut plaire, ça perds son charme. De toute façon, depuis que Tony était arrivée dans sa vie, il n'avait pas vraiment regardé les autres femmes. Pas autant, en tout cas. Un peu moins, disons. Mais pas complètement, parce qu'il est pas fait de bois, Charles.

Mais pas ce soir, non.
Ce soir ce qu'il voulait, c'était un autre whiskey sur glace.
Et une conversation avec son ami.

Il avait repréré Cameron au loin, en train de servir deux petites poulettes - il avait sorti son sourire charmeur, le salopard. Il aurait surement des pourboires et des numéros de portable plein les poches d'ici la fin de la soirée. Charles s'était approché du bar, trouvant un banc isolé des autres au bout complètement du bar. Il savait qu'il aurait un peu la paix pour discuter avec Cam pendant un petit moment. Il le vit d'ailleurs s'approcher vers lui, un verre de whiskey de déjà prêt en main qu'il glissa vers Charles. « Fuck Cam, c'est comme si tu lisais dans mon esprit. » qu'il avait dit en un soupir, souriant à celui qu'il considérait comme un ami, un petit frère. « Bordel que j'en avais besoin. » qu'il continue, après avoir prit une gorgée du liquide brulant. Il avait regardé son ami longuement - c'était pas le mec le plus bavard ce type, mais Charles et Cameron, ils étaient un bon duo. Pour une raison inexpliquable, ils avaient cliqué, et dès le départ, ça avait été comme s'ils se connaissaient depuis toujours. Il tendit un bras par dessus le bar pour lui donner un petit coup de main sur l'épaule. « Comment ça va, Cam? T'a pas l'air dans ton assiette. » Il y avait quelque chose dans le regard de son ami qui donnait l'impression à Charles que quelque chose n'allait pas. Et Charles, il avait habituellement une bonne intuition. Peut-être qu'il avait eu des mauvaises nouvelles? Ou que quelque chose était arrivé plus tôt.
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Cameron Wayne
« Cameron Wayne »
«Date d'arrivée» : 26/09/2021
«rêves brisés» : 1173
«faceclam & crédits» : Sebastian Stan; ava (ingloriousfc); signa (amiante).
«expériences réussies» : 1448
«multi-comptes» : Pas schizo.

No one here gets out sane and sound
MessageSujet: Re: the deepest blues are black (cameron & charles)   the deepest blues are black (cameron & charles) EmptySam 2 Oct - 19:33


@Charles Buchanan & Cameron Wayne
☆ ★ ☆
La soirée, enfin la nuit même, promet d'être longue, rien que pour le fait, que le monde s'accumule au fur et à mesure des quelques minutes qui s'écoulent. Il y a du client ce soir-là, sans parler du fait, que la grosse majorité des places VIP sont tous réservés et déjà occupés. Dans mon cas, je ne suis pas à charge, ni dans la responsabilité de me pointer dans les carrés privés, le bar est mon seul refuge, mon seul QG pour le reste de la nuit. La bonne nouvelle au moins, c'était que mon chiffre d'affaire serait plus fleurissant ici qu'à l'animalerie. Ces derniers temps, il n'y avait pas foule au magasin, à croire que tous les abrutis du coin, avaient une fois de plus abandonné leur bestiole sur le détour d'une route de vacances. Chose que je ne pouvait pas concevoir, étant un fervent défenseur sur le respect et le bien-être animal. Quoi qu'en y réfléchissant, c'est plus compliqué de laisser un cheval ou un bovin, accroché à un arbre perdu au milieu de nul part. M'enfin, dans tout ça, le contraste entre les deux emplois est sans appel. Seulement pour vivre à Olympia, faut la payer la cabane et le cumul des deux boulots n'est pas de trop. Cela dit, un client satisfait, est un client régulier. S'il faut jouer du charme pour obtenir gain de cause, autant faire un effort. Minime certes mais les pourboires n'en serait que plus satisfaisant. C'était le goût du travail bien fait après tout. Pas le temps de bailler aux corneilles, il y a un attroupement au bar et on a rarement un moment de répit, excepté quand le DJ, se mettait à faire une animation pour une bouteille gratuite. Dans ce genre de circonstances, c'était toujours la folie. Et les mauvais perdant, venaient constamment se réconforter auprès de nous. Business, business, business...

Alors ont bat des cils, ont sort nos plus beau sourire sur le coin des lèvres et ont dandine notre boule sur du LMFAO. I'm sexy and I know it à un succès fou, faut voir avec quelle détermination, les gens s'attroupent pour exploser d'euphorie devant le DJ. Mais les chansons ne sont pas éternels, deux minutes ça passe plus vite que la vitesse de l'éclair et voilà que les essoufflés et les assoiffés surtout, reviennent à la charge. Hallucinant comme les femmes, viennent plus facilement voir les barmans, à contrario des hommes, qui venaient eux vers les serveuses. Pas si étonnant en fin de compte, la seule chose que la plupart d'entre eux cherchent à avoir, c'est un coup d'une nuit, une seule. Dans mon cas, depuis ma rencontre avec Bella et sa véritable identité la concernant, ça m'avait grandement refroidit, coupant court à tout débat charnelle depuis, avec n'importe qui. C'était le même effet que de se prendre un sceau d'eau avec des glaçons en pleine tronche. Et tant que je n'aurais pas tout avoué au principal concerné de cette histoire, je n'aurais jamais la conscience tranquille. Et en parlant de celui-ci, on peut clairement le voir sortir d'un carré VIP, marchant dans ma direction. Un dernier clin d’œil en servant les commandes aux deux minettes qui se tiennent devant moi et j'attends sa venu, à ce frère de cœur, à défaut d'être celui du sang. Seulement les deux nanas n'ont pas l'air pressé de quitter le bar, se jugeant du regard, un sourire en coin. Non pas méchamment, juste timide à première vue. Le corps penché en avant, les mains de chaque côtés de mes coudes comme barrière de ne pas m'effondrer de l'autre côté, je tente d'entendre ce qu'elles auraient à me dire.

« Autre chose ? » Le sourire Wayne, oublie pas de sourire ! Celui-ci vient s'ajouter à mon expression curieuse, jusqu'à que l'une d'elles, ne viennent glisser un papier, visiblement bien chiffonner, certainement du au fait qu'il avait traîner dans son soutif un peu trop longtemps. Bah oui, peut-être sevré depuis quelques temps l'animal mais ça ne m'empêchait pas d'avoir les yeux partout et la belle ne portait pas de poche, ni de sac. Donc le seul endroit possible, c'était son soutif. Dommage que les néons vacillaient autour de nous, j'aurais parié cher que ses joues s'étaient teintés d'un rouge pourpre à force de rougir. Mais on en resta là et comme tous les autres, son bout de papier fut accroché avec tous les autres numéros sur le clou, en dessous du comptoir. Pas de temps pour batifoler dans l'immédiat. Alors un dernier p'tit clin d’œil et la voilà reparti avec ça. Dans tout ce remue ménage, je n'avais pas perdu ma cible de vue et me voilà armé d'un whiskey, me dirigeant vers le fond du bar, le sourire déjà bien disparu. Les choses sérieuses pouvaient dorénavant commencer, le poids de ma conscience serait soulagé. Enfin presque, restait encore à voir, comment le brun réagirait de ma révélation. Lire dans son esprit... Si seulement. Cela dit, depuis le temps qu'on se connaissait, j'avais bien intégrer sa boisson favorite, c'était donc pas bien compliqué. Il en avait besoin dans l'immédiat ? Pauvre garçon, il en commanderait un deuxième bien vite à l'annonce que j'allais lui faire ! Ou pas, peut-être qu'il m'en foutra une belle en pleine gueule et prendra ses clics et ses clac sans demander son reste. Ce que j'aurais amplement mérité.

Pour l'heure, je ne peux que me contenter de le regarder porter son verre à ses lèvres, m'imaginant l'effet de l'alcool lui brûlant l’œsophage. J'en aurais bien besoin moi aussi, dans l'immédiat mais il fallait rester sobre pour ce qui allait suivre, ça vaudrait mieux comme ça. Un peu perdu dans mes songes, j'avais pourtant répété cette scène un million de fois et aucune ne me semblait être la bonne pour lui avouer la triste vérité; Finalement, c'est sa main immense qui vient s'écraser sur mon épaule, me faisant un peu revenir sur terre, analysant subitement la situation. Ça me faisait mal, horriblement. Parce qu'à mes yeux, Charles était cet ami dont j'avais besoin, celui sur lequel, je savais qu'aucun jugement ne me serait porté. Même s'il ne savait rien de moi, concernant ma vie d'avant Seattle, ça n'avait pas empêché que tous les deux, on avait sympathisé au premier coup d’œil. Il n'y avait pas de réel explication, c'était comme ça, c'est tout. Et à mes yeux, il était ce frère que j'avais perdu tragiquement. Alors si je devais à son tour lui faire un adieu, autant que ça soit maintenant et pas à une autre fois. « Je connais Bella. » Au moins, c'est sorti. Peut-être pas de la meilleure des manières mais tourner autour du pot n'était pas dans mes principes. Cela dit, avec cette information, on allait pas faire avancer l'affaire bien loin. « Charles je te jure que si j'avais su, j'aurais jamais fait ça. » Là en revanches, ça commençai un peu à dévier sec de l'annonce brutal. Finalement, c'était plus compliqué que je ne le pensait. « Mais t'es mon ami, fin j'crois, j'espère, alors t'as le droit d'être au courant et de m'en foutre une dans la gueule si ça peut te soulager. » Et avec le boucan que produit la sono, c'était franchement pas évident de se faire entendre et fallait crier pour espérer que mes mots soient bien assimiler. Sauf que crier c'est bien beau, mais ça donne soif et ça irrite la gorge. Alors contre tout attente je craque, je capitule, me servant à mon tour un whiskey, dont la saveur vient s'emparer de mon palais, aussitôt la première lampée avalée. Ça, c'est fait, restait à savoir comment il le prendrait, jusque-là.
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 the deepest blues are black (cameron & charles)


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